Le chagrin et la culpabilité sont deux phases incontournables du travail de deuil. Quand nos chers compagnons nous quittent, nous sommes envahis d’émotions diverses. Colère, tristesse, peur, culpabilité s’emparent de nous.
Chagrin
A la mort d’un animal, il est normal de pleurer, non seulement son départ mais aussi parce que nous ne gouterons plus une certaine qualité d’amour. La mort d’un être qu’on aime est toujours difficile. Mais souvent, la perte d’un animal nous atteint plus profondément que celle d’un humain. Leur amour inconditionnel à notre égard se mêle à une telle qualité de présence que leur décès laisse un vide dans notre cœur et notre âme.
Culpabilité
J’aurais dû être là, je n’ai pas fait ce qu’il fallait… Il semble que les reproches et la culpabilité appartienne à la condition humaine du moins à un certain conditionnement culturel. Comme si il fallait que nous devions être capables de prévenir sa mort. Eh bien non !
Dépasser ces émotions
Nous leur devons de trouver le soulagement et la paix. Pour cela, il nous faut affronter, parler et dire oui à nos émotions les plus profondes. Cela passe par le souvenir de tous les moments de bonheur partagés avec nos compagnons bien-aimés.
En conclusion je vous offre ce très beau texte de Barbara Janelle :
« Le moment où les animaux entrent dans notre vie marque le début d’un voyage plein d’aventures, d’apprentissage te d’amour. Et quand ils nous quittent, nous sommes perdus, désespérés. Le temps passant, nous explorons l’histoire et en voyons la signification. Nous ressentons alors un immense respect, une admiration sans borne pour ces êtres remarquables. Quel grand honneur ils nous font quand ils partagent avec nous une partie de notre vie. »
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